Archontophoenix cunninghamiana ahr-kont'-o-FEE-nix kun'-ning-ham-ee-AHN-a Ce Palmiers est splendide jeune tout comme à l'âge adulte. Il forme une couronne de belles feuilles pennées lui donnant un aspect très tropical. Malheureusement trop peu rustique, il est déjà très abîmé à -4°, ce qui explique son absence presque totale sur tout le territoire, excepté quelques sujets sur la côte d'azur, rescapés des hivers rigoureux (source La Connaissance des Palmiers de P.O. Albano). Culture Ce Palmier doit donc rester exclusivement en pot ou bac dans un mélange riche et bien arrosé, sur toute une large moitié nord de l'hexagone, voire du territoire. J'ai cependant craqué pour ce Palmier suite aux articles de Éric Guerville et de Alain Jamet, parus dans la revue 'Le Palmier' N° 39, et qui traitent de la variété Archontophoenix cunninghamiana écotype Illawara qui serait légèrement moins frileuse (limite maxi -6°). Je réserve de toute façon ce Palmier pour l'intérieur, dans une zone du pavillon ayant 5 m sous plafond, ce qui me permettra de l'admirer pendant de longues années, mais il faut encourager tous les palmiéristes ayant la chance de posséder un jardin au microclimat adéquat de se procurer et tenter ce Palmier.
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L'Archontophoenix cunninghamiana est originaire de la côte Est de 4 l'Australie
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3 Inflorescence d'Archontophoenix cunninghamiana en septembre 2006, dans le jardin Howea, cultivé par Alain Jamet.
Photo Alain Jamet |
NOTE Mon Archontophoenix cunninghamiana a fait une nouvelle palme en 2005, puis a végété, s'est mis a sécher pendant l'hiver 2006, palmes après palmes, sans que je parvienne à le récupérer, et est mort au début de l'Été 06. La sécheresse de l'air de l'appartement probablement. |